Formations et Métiers

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Note ministérielle du 26 juin 1985 relative à l'organisation de la FTTC, au contenu des programmes et rappel de ses fondements juridiques

La présente note s’adresse aux formateurs chargés d’assurer la formation théorique et technologique complémentaire (FTTC) des apprentis ainsi qu’aux directrices et directeurs des centres de formation professionnelle et de l’apprentissage (CFPA), à leurs adjoints techniques et pédagogiques et aux agents chargés du contrôle technique et pédagogique de l’apprentissage.  

 

Elle a pour objet de présenter la FTTC et de la situer dans le système pédagogique de l’apprentissage en rappelant ses fondements juridiques, et en précisant les matières qu’elle comporte.

 

La loi n° 81-07 du 27 juin 1981  définit, en son article 2, l’apprentissage comme étant :

-   « un mode de formation professionnelle, en cours d’emploi, ayant pour but l’acquisition d’une qualification professionnelle reconnue… »,

 

La loi prévoit, au second alinéa de cet article, que : 

 

-   « l’acquisition de cette qualification se fait par l’exécution pratique répétée et progressive des différentes opérations liées à l’exercice du métier considéré et par une formation théorique technologique complémentaire… ».

 

Le décret n° 81-392 du 26 décembre 1981 portant application des dispositions de la loi n° 81-07 relative à l’apprentissage, précise 

   

  • en son article 1, que « la FTTC a pour objet de dispenser à l’apprenti les connaissances théoriques nécessaires à l’exercice du métier objet de l’apprentissage et pour objectif de faciliter , par un enseignement général, l’acquisition de la qualification visée ». 

 

  • en ses articles 2 et 3, que «  la FTTC est dispensée périodiquement aux apprentis d’une même branche ou de branches voisines ». … »dans les CFPA, leurs annexes et sections détachées, les structures d’entreprises ou  inter-entreprises… ». 

 

Ainsi, de par les textes régissant l’apprentissage, la FTTC est prévue comme une des composantes de la formation professionnelle par apprentissage et comme partie intégrée du cycle d’apprentissage.

 

Composante de la formation professionnelle des apprentis, la FTTC intervient en complément de l’apprentissage du savoir-faire qui est essentiellement pratique et qui se déroule sur les lieux de travail, voire sur les postes de travail.

 

La FTTC intervient pour faciliter l’acquisition du savoir-faire en développant chez l’apprenti le savoir-être qui se caractérise notamment par des connaissances fonctionnelles, un comportement cohérent, des capacités d’écoute et d’observation et des aptitudes à la communication.

 

Partie intégrée du cycle d’apprentissage, la FTTC devra être organisée, partout où les conditions le permettent, en corrélation et en alternance avec l’apprentissage pratique.

 

Cette corrélation doit être assurée en centrant le cours de FTTC sur les opérations réalisées par l’apprenti sur les lieux de travail et mentionnées sur son livret d’apprentissage qui a été conçu à cette fin notamment.

 

Pour que cette corrélation produise les résultats attendus, il est nécessaire de réaliser une alternance régulière de la FTTC et de l’apprentissage pratique, en regroupant périodiquement les apprentis une fois par semaine, ou une fois par quinzaine ou tout au moins une fois tous les 2 mois.

 

I-  Les matières et enseignements :

 

L’enseignement en formation théorique et technologique complémentaire porte sur les matières suivantes :

 

-   le calcul général …………………..……….. et….……le calcul professionnel

 

-   le dessin géométrique ………………..……et………. le dessin technique  

 

-   la technologie générale ……………………et……….la techno de spécialisation

 

-   l’hygiène et la sécurité générales ……….   et…….…l’H/S Professionnelles

 

-   l’instruction civique et politique.

 

-   la langue : L’expression  orale et  écrite  pour  les apprentis d’un  niveau scolaire     

   variant du certificat d’études primaires (CEP) à la3ème année secondaire.

 

-   l’alphabétisation fonctionnelle, en langue nationale, pour les apprentis ne    sachant ni lire ni écrire.

 

-   les enseignements sont organisés en 2 étapes pour tous les  apprentis :

  • un enseignement général en tronc commun.
  • un enseignement professionnel ou de spécialisation.

1.1- 1ère étape :  L’enseignement en tronc commun.

 

En dehors de l’instruction civique et politique qui portera sur un programme unique, chacune des matières ci-dessus énumérées sera dotée d’un module de tronc commun et d’un module de spécialisation.

 

En tronc commun, les apprentis sont organisés en groupes de 20 à 25 éléments en tenant compte d’abord du niveau scolaire ensuite de la branche et de la spécialité professionnelle autant que possible.

 

Chaque groupe ainsi constitué suit les cours des troncs communs de calcul, dessin technologie générale, hygiène et sécurité générales, langue (ou Alphabétisation selon le niveau scolaire du groupe) ainsi que les cours d’instruction civique et politique.

 

Les groupes d’apprentis qui sont ainsi composés sont maintenus jusqu’à épuisement de l’horaire prévu pour l’enseignement de chaque matière du tronc commun.

 

1.2-  2ème étape  :  L’enseignement professionnelle ou de spécialisation.

 

Le terme « spécialisation » est employé ici pour désigner l’enseignement lié au métier proprement dit ou à la spécialité professionnelle concernée par l’apprentissage.

 

L’enseignement professionnel ou de spécialisation constitue un prolongement et un complément de l’enseignement en tronc commun. Il porte sur les matières suivantes :

-   le calcul professionnel ;

 

-   le dessin technique ;

 

-   la technologie professionnelle ou de spécialisation ;

 

-   l’hygiène et la sécurité liées au métier ou à la spécialité professionnelle.

 

L’enseignement de spécialisation portera sur l’application concrète au métier ou à la spécialité professionnelle, des connaissances étudiées en tronc commun. Il s’attachera également à enrichir et à consolider  des connaissances par la découverte et l’assimilation de connaissances techniques particulières au métier et qu’on appelle communément « les ficelles du métier ».

 

Exemple : En troncs communs de calcul et de dessin, l’apprenti peintre prendra ses mesures en utilisant le double-décimètre et tracera ses droites à l’aide d’une règle et d’un crayon. En enseignement de spécialisation, comme dans la pratique du métier, il apprendra à utiliser le mètre ou le double-mètre pour prendre ses mesures et un cordeau imprégné d’une teinte, tendu à ses 2 extrémités, pincé et relâché comme la carde d’un arc pour tracer rapidement une ligne droite sur un mur qui doit être peint en 2 couleurs différentes.

 

II- Objectifs et recommandations pédagogiques :

 

L’apprenti n’est ni un élève, ni un stagiaire, c’est un futur travailleur en formation, en milieu professionnel.

 

L’enseignement en FTTC, et particulièrement en tronc commun, ne doit pas reproduire l’école publique, ni dans ses relations maître/élève, ni dans ses méthodes d’enseignement et d’évaluation. Il ne doit pas non plus être assimilé exactement à l’enseignement professionnel en CFPA.   

 

Les candidats à l’apprentissage constituent une population particulière. Ils ont en général fait l’expérience de l’école et ont choisi, consciemment ou non, la vie active.   

 

La formation par apprentissage va les introduire dans une situation particulière, celle du milieu professionnel, univers d’adultes, univers structuré et fonctionnant selon des normes plus ou moins rigides et pas toujours évidentes pour des adolescents.

 

C’est pour ces raisons que les classes de FTTC doivent être organisées, encadrées et animées selon un schéma pédagogique autre que celui de l’école, autre que celui du CFPA. Un schéma qui :

  • rappelle le moins possible l’école et par conséquent l’échec scolaire ;
  • exclut le type de relation maître/élève, adulte/enfant (père /enfant), pour le remplacer pour un type de relation fondé sur la solidarité du groupe dans l’effort de redécouverte des règles et normes établies ;
  • valorise l’apprenti en tant que futur travailleur ;
  • favorise l’épanouissement du jeune, en l’acceptant  d’abord tel qu’il est pour l’amener ensuite progressivement à se découvrir en tant qu’agent et facteur de sa propre formation.

 Dans ce schéma pédagogique, le formateur n’est plus celui qui dispense les connaissances. Il devient un animateur discret qui stimule les efforts, les encourage et les oriente sur la voie de la découverte. Plutôt qu’un juge ou un censeur, le formateur doit s’attacher à être un modèle et un « copain ». Il doit davantage rassurer et encourager que juger et sanctionner.    

 

La classe de FTTC doit être comprise comme un atelier d’entreprise et une équipe de travail au sein desquels le formateur doit apparaître comme un chef de groupe et un compagnon partageant les efforts, les échecs et les succès collectifs. Les apprentis doivent sentir qu’ils sont, non pas des élèves astreints à une discipline scolaire, mais des travailleurs liés et concernés par la réalisation d’une tâche commune.

 

En formation théorique et technologique complémentaire, l’évaluation pédagogique des exercices d’apprentis ne doit pas s’attacher à un relevé mécanique et systématique des erreurs et des imperfections de l’apprenti. Certes elle ne doit pas les ignorer. Elle doit motiver le dialogue en valorisant les réussites de l’apprenti et en l’encourageant à réduire peu à peu ses imperfections et maladresses. L’essentiel dans cette évaluation pédagogique est d’aider l’apprenti à trouver sa voie, à réussir ce qu’il fait en suivant son rythme.     

 

Selon ce schéma pédagogique, l’un des buts de la formation théorique et technologique complémentaire est de faire découvrir aux apprentis des connaissances utiles à l’apprentissage et nécessaires à l’exercice du métier ; mais ceci ne doit pas être considéré comme une fin en soi.

 

La finalité des enseignements en FTTC  est d’associer le  processus d’acquisition des connaissances à celui de la valorisation et du développement des diverses facultés intellectuelles de l’apprenti : facultés d’observation, d’écoute, de réflexion, de raisonnement, de mémorisation, de restitution etc.…  

 

Dans cet esprit et dans ce but, les différents enseignements doivent être assurés comme suit :

      

2.1- L’enseignement de la langue :

 

Cet enseignement doit faire l’objet d’une action organisée et menée de façon concertée par l’animateur du tronc commun de langue et les formateurs chargés de l’enseignement des autres modules.

 

L’animateur chargé du  module de langue assurera un enseignement spécifique. Il devra être qualifié sur les plans professionnel et pédagogique. Dans ce but, cet animateur devra  être choisi de préférence parmi  les instituteurs, les professeurs de l’enseignement moyen ou de l’enseignement secondaire (filière lettres).

 

Cet enseignement doit s’appliquer :

 

-   à débloquer l’expression ;

 

-   à libérer l’initiative ;

 

-   à faire découvrir la langue en tant qu’instrument de la communication ;

 

-   à  faire découvrir et assimiler les règles de fonctionnement de la langue, de l’expression et de la communication.

 

         L’apprenti est appelé à devenir un salarié ou un artisan, c’est à dire un travailleur et un gestionnaire à la fois. Dans tous les cas, il aura à exercer son activité professionnelle en relation permanente avec les autres qui pourront être ses collègues, ses responsables, ses collaborateurs, ses fournisseurs, ses clients. C’est pour lui permettre  d’acquérir  les   outils essentiels de communication que le programme de tronc commun de langue est entièrement axé sur la vie professionnelle.

 

         L’horaire réservé à cet enseignement est limité et peut paraître insuffisant. C’est particulièrement pour cela que les animateurs chargés des autres modules de tronc commun et de spécialisation devront veiller à ce que l’apprenti applique correctement dans leurs cours les notions et les règles étudiées dans le module. Dans ce but, la relation entre les différents formateurs devra  être construite et coordonnée notamment par l’adjoint technique et pédagogique chargé de l’apprentissage.

 

 

         2.2- L’enseignement du calcul :

 

Cet enseignement a une double finalité :

 

-   permettre l’acquisition des connaissances de base relatives aux nombres et aux règles régissant leurs multiples utilisations, combinaisons et applications concrètes dans la vie quotidienne et la vie professionnelle. Ces connaissances doivent être fonctionnelles et permettre au futur artisan d’établir un devis matière, une facture et de tenir sa comptabilité par exemple ;

 

-   développer le sens de la  logique en s’attachant à susciter le raisonnement.  

 

         2.3- L’enseignement du dessin  :

 

   Il a pour buts :

 

-   de faire assimiler :

 

  • les  notions essentielles de géométrie plane, y compris les unités et instruments de mesure ;
  • les notions de base de géométrie dans l’espace, associées aux techniques d’abstraction et de représentation graphiques, dans le plan, des objets en perspective, y compris leurs éléments cachés ;
  • les normes du dessin technique (normes de traçage, de figuration et d’écriture), les notions de cotation et d’échelle etc.…

-   de permettre au travailleur que deviendra l’apprenti  d’arriver :

 

  • à faire le schéma d’un ouvrage avant de le réaliser ; 

 

  • à déchiffrer et à utiliser  la notice technique d’une machine ou d’un appareil ou le schéma d’un ouvrage représentant une commande de travail.    

 

2.4- L’enseignement de l’hygiène sécurité :

 

              Le but de cet enseignement est :

 

-   de faire découvrir que tout métier comporte un certain nombre de  dangers, de risques et de maladies professionnelles liées :

 

  • à la structure de l’espace professionnel et à son organisation ;

 

  • aux règles de mise en place et d’utilisation des équipements divers   (installations d’électricité, d’eau, de gaz, d’aération…), des machines et des matières premières ;

 

-   de faire découvrir et assimiler les règles de prévention des dangers, risques et maladies professionnels, la vaccination et le contrôle médical, les équipements de protection et de secours   etc.… ;

 

-   de faire assimiler les techniques de secourisme ;

 

-   de faire assimiler les principes et les techniques de maintenance  des machines et de l’outillage.         

  

    2.5- L’enseignement de la technologie : 

 

    Son but est de :

 

-   faire découvrir les différents types de matériaux utilisés dans la production : les métaux, les alliages, les minéraux, les bois, les matières plastiques, les liquides, les fluides, etc.… ;

 

-   étudier les caractéristiques de ces matériaux et leur comportement devant les actions du milieu ambiant ; actions mécaniques, chimiques, thermiques etc.… ;

 

-   étudier la malléabilité ainsi que les conditions, les techniques et les normes d’utilisation des différents types de matériaux ;

 

-   faire acquérir la terminologie relative à ces matériaux, à l’outillage et aux techniques de leurs utilisations.

 

Cet enseignement comporte également un module de tronc commun et un module de spécialisation.

 

Le tronc commun est organisé pour une branche professionnelle ou un groupe de spécialités de même famille.

 

 

-   les apprentis doivent être structurés en groupes de 25 éléments, au maximum, par branche et autant que possible, par spécialité et niveau scolaire ;

 

   les groupes ainsi constitués pour le tronc commun peuvent être maintenus pour l’enseignement en technologie de spécialisation.

 

            L’enseignement de la technologie doit fonctionner selon les mêmes principes que les autres enseignements, à l’exception du principe de corrélation entre la FTTC et l’apprentissage pratique. En technologie, cette corrélation devra être assurée autrement et de la manière suivante :

 

-   le formateur dispensera son programme dans l’ordre pédagogique proposé par ce document. Il s’attachera à susciter des questions de la part des apprentis sur ce qu’ils ont observé en apprentissage pratique et qui a un rapport direct avec  le cours de technologie.

 

Les réponses du formateur à ces questions doivent aider les apprentis à comprendre les normes et les principes techniques qui sont utilisés, peut être de façon routinière, par les maîtres d’apprentissage dans leur travail.

 

Si les apprentis ne réagissent pas, le formateur doit s’inquiéter et rechercher les causes de leur silence. Il doit, dans tous les cas, traiter des exemples pratiques et faire à ses apprentis des exercices d’observation sur les procédés employés par leurs maîtres d’apprentissage dans leurs ateliers.

 

 

           Exemple :

 

Les apprentis menuisiers, charpentiers, ébénistes, sculpteurs et graveurs sur bois peuvent constituer une classe de technologie pour les métiers de la branche « bois et ameublement ».

 

En traitant de telle ou telle essence de bois et de ses normes d’emploi, le formateur devra exploiter la question de l’apprenti-ébéniste par exemple pour organiser un débat qui lui permettra de mieux expliquer telle ou telle notion de technologie du bois.

 

         Il saisira également cette occasion, ou au besoin il la créera, pour faire à ses apprentis des fiches d’observation qu’ils devront utiliser en entreprise pour compléter leur information.

 

 

III- Les programmes et les formateurs :

 

Les programmes réalisés pour la formation théorique et technologique complémentaire des apprentis n’ont la prétention d’être ni complets, ni parfaits ; ils sont en somme semblables à tous les programmes. Ils ne sont pas faits pour l’éternité. Ils devront être adaptés progressivement à l’évolution de la technologie et à la demande des populations concernées.

 

Ces programmes sont des outils de travail. Par eux-mêmes, ils ne sauraient répondre aux objectifs assignés à l’apprentissage. Ils ne rempliront leurs fonctions que s’ils sont mis en valeur par un personnel qualifié et motivé, agissant dans un cadre organisé, bien géré, favorisant le travail d’équipe et la formation pédagogique continue des formateurs.

 

 

         3.1- Le cadre pédagogique :

 

La formation théorique et technologique complémentaire des apprentis doit être une activité normale et permanente du centre de formation professionnelle et de l’apprentissage.

 

A ce titre, elle ne doit pas relever seulement de l’initiative et de la compétence de l’adjoint technique et pédagogique chargé de l’apprentissage, mais elle doit bénéficier pleinement de l’intérêt du directeur de l’établissement et de ses autres collaborateurs.

 

Elle doit être organisée de manière :

 

-   à constituer un cadre de travail enrichissant pour l’apprenti, le CFPA et le formateur lui-même ;

 

-   à ce que les relations humaines se développent en ayant pour centre d’intérêt la recherche pédagogique et la promotion qualitative de l’enseignement ;

 

-   à ce que le formateur vacataire ne soit pas un « tâcheron » motivé par la seule rémunération financière, mais un éducateur animé par le souci de la réussite pédagogique et ne ménageant pas sa peine pour la garantir.    

 

 

Dans ce but :

 

-   le formateur devra être recruté selon des critères favorisant la compétence, les qualités humaines et les qualités pédagogiques et à des conditions contractuelles pouvant faciliter la valorisation de son travail en FTTC ;

 

-   il devra suivre un module d’information sur la  pédagogie de l’apprentissage et utiliser le « Guide conseil » réalisé à son intention par l’INDEFE ;

 

-   il devra contribuer aux journées   pédagogiques qui seront organisées par le CFPA pour améliorer des méthodes d’enseignement ;

 

-   il devra préparer ses cours, créer des supports didactiques et tenir un cahier-journal qui permettra d’apprécier son travail ;

 

-   le directeur de CFPA, son adjoint technique et pédagogique et ses autres collaborateurs devront, chacun en ce qui le concerne, veiller à l’organisation et à la mise en œuvre de la FTTC des apprentis en conformité avec les dispositions de la loi et de la réglementation en vigueur.

 

 

               L’adjoint technique et pédagogique chargé de l’apprentissage devra veiller particulièrement à la cohésion des groupes d’apprentis et des équipes de formateurs ainsi qu’à l’application des programmes, des méthodes et des instructions pédagogiques.          

 

                                                                

 

                                                                  Le  Secrétaire général  du ministère     

                                                             de la formation professionnelle et du travail

                                                                              Bellahcène  ZERROUKI



18/12/2012
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